-
Marguerite Leslie by Rita Martin, published by Aristophot Co Ltd, bromide postcard print, circa 1908. National Portrait Gallery, London
-
Mantelet au lever de l'aurore & Bonnet negligé
Robe dite "Les Longchamps"
Robe au décolleté à la Gabrielle d'Estrées
-
Нашла еще несколько старинных кукольных домиков, а также современной работы "Мастерскую Леонардо да Винчи" и японский кукольный домик.
Cabinet of Sara Ploos Van Amstel
Mexican Doll House The small mansion, believed to be is a copy of a house which once stood in Puebla, was discovered in an antique shop in Puebla in the spring of 1977. Although the facade of the house has some Moorish features, it is French in flavor, a reflection of many full-sized mansions in Puebla and Mexico City built over the years after the arrival of the troops of Napoleon III in 1862. In 1922, the house was wired and redecorated, giving the interior some feeling of the 1920s. The Paige automobile in the driveway is, along with a pair of early radio towers, from this period.
Fully furnished, the house contains a drawing room, dining room, kitchen, bedroom, bath, music room, and chapel. A section of the removable facade covers each of these.
from 1890-1920.
Christian Hacker´s House
Made in Nuremberg in 1900, sweet design french style
Uppark
Moved to Uppark in Sussex, England, 1947. Belong to Sarah Letihieullier
Hamleys Doll House
Hamleys, the gigantic toy emporium sold this Dollhouse in 1930
Manwaring Dolls' House
An early Georgian house (1718) with a walled garden and a collection of 19th- to 20th-century paintings. Museum of Farnham, Surrey
The maker is said to have based the facade of the doll's house on that of the children's own house. The Manwaring's former house is next door to the museum and, like the doll's house, a fine example of Georgian architecture.
Baroque Doll’s World
Besides taking care of her cute little dogs, the early widowed and childless Countess Auguste Dorothea von Schwarzenberg-Arnstadt (1666 - 1751) had another cute little hobby: the replication of the Baroque world around her into miniature proportions. She spent the years between 1704 and 1751 working on her composition, “Mon Plaisir” (“My Pleasure”), an entire world consisting of 82 dolls houses and more than 400 dolls.
6
7
Stromer House
One of the oldest known intact doll houses is in the Germanisches National Museum, Nuremberg, Germany. Known as the Stromer House, because it was presented to the museum by Baron von Stromer, its original owner is unknown, but it is dated 1639.
Like other famous doll houses which followed it, the Stromer House offers a fascinating view of upper-class life for the time and place it was made. This doll house has 15 sections, with everything from stables and servants’ quarters, to elegant bedrooms and a reception room and hall with intricately paneled walls.
Toy House Italian
Dated 1700-1750, Museum of Industrial Art
Strada Maggiore No 44
I-40121 Bologna
Italy
Vanderbilt´s Doll House made by Paul Cumbie in 1883, the real is 660, Fifth Avenue, NY
English House
Nuremberg Kitchen
Furniture
Cabinet of Sara Ploos Van Amstel
Trailer Doll House
Japanese House
-------------Современный японский кукольный домик-------------
----------------Домик художника-------------------------
---------------------------Vale House------------------------
Vale House
Vale House - open
This is a 1/12th house
Vale House - Dining Room
Vale House - Drawing Room
Vale House Kitchen
Vale House - entrance hallway
Vale House - Scullery
Vale House - Scullery, showing china storage
Vale House - Egyptian Museum
------------------
-
Renée, Lartigue
Marlène
Greta
Clara Bow
Tallulah Bankhead
Silent Film Actress Carmel Myers, c. 1920s
Josephine Baker
Louise BROOKS
Marlène
-
Matyo
Neprajzi Muzeum, Budapest
Ces aquarelles ont été peintes à la fin du XIXe siècle par Jozsef Huzska : de village en village, il parcourait les différentes contrées du royaume de Hongrie pour photographier, dessiner et prélever des échantillons du costume traditionnel paysan dont il cherchait à établir la typologie et l'histoire. Dans des ouvrages très populaires, il diffusa la théorie selon laquelle les broderies et appliqués paysans remontaient à des milliers d'années, venant de Perse et d'Inde. Une sorte de génie hongrois immémorial propre à alimenter la fabrique de l'identité nationale, art nouveau compris.
Dans les années 30, ses thèses furent battues en brèche par István Györffy, dans son imposante monographie consacrée aux manteaux brodés de la grande plaine, les szurs. Il y démontrait que les motifs du costume traditionnel paysan, loin d'avoir de lointaines origines, étaient directement inspirés par ceux qui ornaient les vêtements de l'aristocratie et de la bourgeoisie quelque temps auparavant : soumise à d'intenses mutations économiques, la paysannerie s'était inventé une tradition.
Un budget considérable était consacré à la broderie : des jeunes filles pauvres, vivant dans des cabanes qu'une journée suffisait à ériger, pouvaient posséder jusqu'à quarante robes brodées et plusieurs centaines de pièces de linge. Les besoins étaient tels que les mains des brodeuses ne suffisaient pas à les combler : nombres de pièces provenaient du marché des produits manufacturés en plein essor. Les jours de fête, tous croulaient sous le poids des fleurs brodées.
Sur l'histoire du costume traditionnel hongrois, voir :
http://florizel.canalblog.com/tag/broderies
Mariés de Mezokovesd, vers 1900
Les manches du costume de marié étaient, à sa mort, découpées pour lui servir de linceul
Une planche du livre d'échantillons de Istvan Fulep, tailleur à Miskolc, dans les années 1820
réutilisé par le fourreur, Daniel Nyitrai jusque dans les années 1870.
-
SOULIERS du XIXè siècle - ancienne mode
SOURCES superbe BLOG
http://ancienne-mode.com/index.asp?ID=363&IDF=1606
-
-
La mode à Orsay
L’impressionnisme et la mode, a priori le sujet semble léger, choisi pour attirer les foules et en effet, il y a du monde au musée d’Orsay pour visiter cette exposition. Mais la pertinence du thème s’impose. A l’entrée, deux petites toiles, une Liseuse de Manet et une Jeune femme lisant de Renoir, un illustré à la main, amorcent ce rapprochement de l’élégance et des peintres dans les années 1860-1880, à l’époque des nouveaux grands magasins évoqués par Zola dans Au bonheur des dames.
Manet, Liseuse ou La lecture de l’illustré (Chicago, The Art Institute)J’ai tenté d’abord de vous rendre compte du parcours, salle par salle, puis je me suis ravisée. Mieux vaut laisser intact le plaisir de la découverte – l’exposition dure jusqu’au 20 janvier 2013. Si vous voulez en savoir davantage, le site du Musée vous en dira plus long, il vaut lui aussi la visite. La scénographie renouvelle sans cesse le dialogue entre peintures et parures. Les écrivains y ont leur part – saviez-vous que Mallarmé signait ses articles de mode Mademoiselle Satin ?
La Dernière Mode. Gazette du Monde et de la Famille,
dirigée et rédigée par Stéphane MallarméLe catalogue s’ouvre sur des photos de robes en pleine page, cela rend bien le point de vue original de cette exposition : la présentation des vêtements et des accessoires de l’époque, et la diffusion de la mode grâce aux illustrés, sujets d’inspiration pour les peintres. Les objets prêtés par le Musée Galliera et le Musée des Arts décoratifs sont d’une qualité exemplaire, comme ces escarpins roses en peau et satin qu’on retrouve plus loin sur deux étonnantes natures mortes de souliers par Eva Gonzalès.
Eva Gonzalès, Les Chaussons blancs (The Metropolitan Museum of Art)Ces magnifiques robes d’époque, on les reconnaît avant même de voir les tableaux – on les a déjà vues chez Manet, Monet, Morisot, Renoir et Cie. Les impressionnistes se voulaient résolument modernes, et comment mieux dire son temps que par le vêtement ? La société du Second Empire obéit à des codes précis pour le jour ou le soir, l’été et l’hiver, la ville ou la campagne, l’opéra, le bal... Les impressionnistes vont les montrer et s’en distancer.
Albert Bartholomé, Dans la serre ou Mme BartholoméRevues de mode et catalogues des grands magasins donnent le ton. Inattendues, ces deux toiles de Cézanne, La Conversation ou Les deux sœurs et La Promenade, présentées à côté des gravures qu’il a littéralement transposées ! Surprise aussi, un grand tableau d’Albert Bartholomé intitulé Dans la serre : la robe que porte Mme Bartholomé est présentée juste à côté, c’est étonnant de passer de l’une à l’autre.
André Adolphe Eugène Disdéri, Carte de visitePour leurs cartes de visite, les membres de la bonne société posaient chez le photographe dans leurs plus beaux vêtements. Tout un mur de planches photographiques de Disdéri, par séries de huit, montre des femmes, des hommes, parfois des couples, offrant leur meilleure apparence sur ces portraits destinés à véhiculer leur image.
Auguste Renoir, Madame Georges Charpentier et ses enfants (The Metropolitan Museum of Art)De nombreux musées français, européens et étrangers ont prêté des œuvres de premier plan. Beaucoup viennent des Etats-Unis ; l’Art Institute de Chicago et le Metropolitan Museum of Art de New York collaborent à l’exposition du musée d'Orsay. Du MET, par exemple, Madame Charpentier et ses enfants de Renoir, magnifique portrait de femme et scène d’intérieur (le terre-neuve n’est pas en reste). De Chicago, Rue de Paris ; temps de pluie, signé Gustave Caillebotte, moderne à tout point de vue.
James Tissot, Juillet (Seaside)Une découverte pour moi, l’œuvre de James Tissot, très présent bien qu’il ne soit pas impressionniste (onze oeuvres, moins tout de même que Degas, Renoir, Manet et Monet). Le prénom anglais de ce peintre français révèle son goût pour le chic mondain. Ses peintures, hommage à l’élégance, valent par le réalisme du rendu, le raffinement des détails, le soin du décor. C’est parfois figé, comme cette réunion d’hommes où l’on observe les variantes du costume masculin (Le Cercle de la rue Royale), c’est plus vivant dans La Demoiselle de magasin (La Femme à Paris, Toronto) ou ce Bal sur un bateau (Tate, Londres). C’est étourdissant dans Octobre ou Juillet (Seaside), exemple de portrait, un superbe contre-jour !
Edouard Manet, Nana (Hamburger Kunsthalle)Près d’une vitrine consacrée aux dessous, presque tous blancs à l’exception d’un corset de satin bleu (qu’on verra sur la mutine Nana de Manet), une grande toile de Henri Gervex, Rolla, qui a fait scandale moins par la jeune femme nue sur le lit et son amant, déjà rhabillé devant une fenêtre ouverte, que par le désordre de ses vêtements et de sa lingerie répandus sur le sol dans un joyeux abandon.
Gustave Caillebotte, Portrait d’un homme (The Cleveland Museum of Art)Très peu de costumes masculins ont été conservés, une vitrine leur est consacrée dans la salle des dandys et des portraits d’hommes : de beaux tableaux signés Caillebotte, en particulier, ou le Portrait de Manet par Fantin-Latour (Chicago).
Edouard Manet, Jeune dame en 1866 ou La femme au perroquet (The Metropolitan Museum of Art)C’est une des leçons de L’impressionnisme et la mode : au fur et à mesure qu’on avance, la différence entre les impressionnistes et les autres, les peintres traditionnels voire académiques, se fait de plus en plus claire, même si leurs modèles portent les mêmes atours. La femme au perroquet de Manet (MET, New York), en peignoir lâche, humant une violette, évoque les cinq sens ; le personnage s’y détache sur un fond sombre, au lieu du riche décor bourgeois. Berthe Morisot, dans ses toiles d’une lumière et d’une légèreté sidérantes, évoque l’intimité d’un intérieur avec un naturel éblouissant. L’air circule dans ses toiles avec une qualité rare, ses blancs sont magiques.
Berthe Morisot, L’Intérieur (Collection Diane B. Wilsey)A l’opéra, les bras sont obligatoirement nus, le décolleté large, la robe, de soie. Chez Mary Cassatt, Eva Gonzalès, Renoir, les femmes dans leur loge ont une véritable présence, de l’expression, alors que dans Une soirée de Jean Béraud, les couleurs des toilettes féminines en contraste avec les habits noirs de leurs cavaliers ne sont que le reflet brillant d’une parade sociale. La nouvelle peinture explore la lumière, la matière et les couleurs pour elles-mêmes.
Mary Cassatt, Femme au collier de perles dans une loge (Philadelphia Museum of Art)Les artistes de la seconde moitié du dix-neuvième siècle ont réinventé le portrait, la scène de genre pour en faire des peintures modernes. Amateurs du chic parisien ou non, allez voir L’impressionnisme et la mode, quoi qu’en dise la presse française qui dénonce une entreprise grand public et une approche trop superficielle, à cause du côté parfois kitsch de la présentation, pourtant secondaire. J’y ai pris conscience, pour ma part, d’un aspect de l'impressionnisme qui ne m’était jamais apparu si clairement : la volonté de représenter la société de leur temps, un mode de vie, la modernité, comme l’indique le titre prévu pour Chicago : « Impressionism, Fashion, and Modernity » J’y ai vu beaucoup de choses et de tableaux que je n’avais jamais eu l’occasion d’observer. C’est gai, c’est instructif, c’est beau. Pourquoi bouder son plaisir ?
SOURCES
http://textespretextes.blogs.lalibre.be/archive/2012/10/22/la-mode-a-orsay.html
-
Le règne de la reine Victoria (1837-1901), est nommé comme l'ère victorienne et la mode de vêtements en ce moment est venu pour être connu comme le vêtement victorienne.
Restreinte aux confins sûrs du Royaume-Uni et ses colonies, avant d'être singé par les autres pays occidentaux, l'habillement victorien dans le XVIIIe siècle a été généralement faites sur mesure par des couturières, des modistes, des tailleurs, des gantiers, chapeliers et de nombreux autres services spécialisés de métier qui a purgé une clientèle des commerces locaux.
En début du XIXe siècle, les vêtements étaient généralement fabriqués en usine et vendus dans les grands magasins à prix fixe du Ministère. A cette époque, les tailleurs qui cousaient à domicile a connu une baisse régulière de leur entreprise. Cela a conduit à l'introduction de la machine à coudre de point de verrouillage qui a simplifié la fois la maison ainsi que la confection magasin.
Les femmes des vêtements a été le point culminant de vêtements victoriens. Ce qui a commencé comme une silhouette droite Régence, fleuri dans les jupes et les manches exagérées soutenus par des crinolines ou cerceaux et rétrécis par la voie de l'agitation ou une entrave jupes.
Autant que les hommes étaient concernés, leur habillement était peut-être les moins volatiles. De la taille de guêpe et des redingotes des années 1830 aux costumes sac dandy et sobre et vestes Norfolk de la 1901, la différence était clairement visible. Au cours du XVIIIe siècle Vêtements
mi victorienne, des vêtements décontractés, comme les cravates et les écharpes sont devenus très populaires auprès des hommes.
Les chemises étaient couramment faits de lin et étaient pour la plupart dans les tons de noir et gris.
Les lignes de vêtements contemporains font usage de ces dessins qui ont été transmis de générations, et certains, sinon la plupart, ont une essence de l'ère victorienne ainsi. Pour rechercher ces articles, vous pouvez toujours vous connecter au net et recueillir toutes les informations dont vous avez besoin.
Quant à ceux qui ont besoin de choisir parmi une variété de accoutrement de mariée, les vêtements victoriens pour les mariées d'être, est un must pour tous. Nous avons évolué d'autrefois pour devenir un genre moderne, mais tous nos dernières tendances ont une essence du passé historique.