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    Le costume

    Les éléments caractéristiques de l’art du Quattrocento se trouvent dans la mode qui est élégante et raffinée, sobre, lumineuse, linéaire. Elle s’adapte et exalte les hommes et les femmes qui vivent dans le monde imaginé par les humanistes, dans la cité idéale conçue par les nouveaux architectes. 

      

    Lorsque l’ancien système féodal qui a longtemps dominé s’effrite dans toute l’Europe, avec des conséquences importantes dans tous les champs, lorsque l’activité marchande du Trecento se consolide, les banquiers riches et puissants vont jeter les bases des seigneuries à venir. Ils feront décorer leurs maisons, encore sans meubles, avec des ornements divers, ils changeront aussi la forme des vêtements en particulier ceux des hommes : on met un pourpoint matelassé (zuparello) avec des manches amovibles, tailladées, pour laisser voir la chemise de dessous.

      

      

    En hiver on porte un manteau ou une casaque à manches fendues. Les femmes portaient pour les grandes occasions des robes à longue traîne. Cette “queue” indignait les prédicateurs et les législateurs qui voulaient la raccourcir. Saint Bernardin de Sienne estimait qu’elle faisait ressembler la femme a un animal “boueux l’hiver, poussiéreux l’été”. Il comparait cet appendice à un “balai de sorcière, un encensoir infernal”. Ceux qui contrevenaient aux lois somptuaires devaient payer de fortes amendes inscrites sur des registres appropriés.

    Dues dames florentines, Domenico Ghirlandaio

    Dues dames florentines dans la fresque “Le Mariage de la Vierge” de Domenico Ghirlandaio, XVe siècle,

    (Florence, Santa Maria Novella)

      

      

    Malgré la promulgation régulière de lois somptuaires contre les dépenses superflues, notamment celles de l’habillement, le luxe gardait un attrait irrésistible. Au même titre que les palais, les chevaux et les carrosses, le vêtement répondait au désir de briller en société.      

      

    On rechercha donc des tissus précieux (au XVe siècle, la soie détrôna la laine, plus humble et usuelle, qui avait enrichi Florence au Moyen Âge) ; des tissus légers non ouvrés comme le taffetas, ou épais comme le velours, les brocards à fils d’or, les damas devinrent à la mode.

     

     

    La naissance de la Vierge, vers 1465, Fra Carnevale

    La naissance de la Vierge, vers 1465, Fra Carnevale,

    (New York, Metropolitan Museum)

     

    Portrait de jeune homme, vers 1495, école de Domenico Ghirlandaio

    Portrait de jeune homme, vers 1495, école de Domenico Ghirlandaio, (San Marino, California, The Huntington Library). L’homme est habillé avec une tunique rouge sans manches (giornea) et coiffé d’un bonnet (beretta) de couleur rouge intense.

      

      

    Plus tard, Léonard pressentit que les vêtements finiraient pour “épouser la forme du corps avec grâce et simplicité sans l’écraser sous des plis artificiels”. Comme auparavant, on appréciait alors la couleur (l’emploi de nouveaux colorants était récent).

      

    À Florence, on préférait le drap rosé. Cosme de Médicis se plaisait à répéter que “deux cannes de drap rosé” classaient l’homme de bien et rendaient le bourgeois guindé mais élégant. Ce n’est qu’au cours du XVIe siècle qui se répandit la vogue du noir ; lancée à l’origine à Venise, puis évoquant l’Espagne, elle dominait au siècle suivant.

     

     

    Joachim chassé du Temple, Domenico Ghirlandaio, Florence

    Groupe d’hommes dans la fresque “Joachim chassé du Temple” de Domenico Ghirlandaio, XVe siècle, (Florence, Santa Maria Novella)

      

      

    Les couturiers ne jouèrent-ils qu’un rôle modeste, presque marginal, et ne grevèrent que très peu les sommes engagées. Ils ne furent même pas représentés par un art indépendant. À la fin du XIIIe siècle, ils firent partie de l’art des fripiers, avec les liniers ;

      

    au XIVe siècle, ils s’associèrent aux teinturiers et aux tondeurs, puis, à nouveau, en 1415, on les retrouve avec les fripiers et les liniers. Leur métier n’acquit ses lettres de noblesse qu’au XVIe siècle, quand la mode requit des connaissances de coupe.

     

     

    Portrait d'un homme (Le Tailleur), vers 1570, Giovanni Battista Moroni

    Portrait d’un homme (Le Tailleur), vers 1570, Giovanni Battista Moroni, (Londres, National Gallery). Cette représentation sobre et bienveillante d’un tailleur à son travail demeure cependant unique en son genre. Le tailleur présente un tissu noir espagnol alors à la mode. Il porte un costume taillé dans un tissu rouge et chamois moins à la mode, rehaussé toutefois d’une fraise espagnole.

     

     

    Coiffures et couvre-chefs

    Sur la tête, les Florentins avaient jusqu’alors porté un “mazzocchio”, tortillon de bourre recouvert de tissu et une “foggia” qui retombait le long de la joue gauche sur l’épaule et se prolongeait par un “becchetto” qu’ils laissaient prendre jusqu’au sol ou se nouaient autour du cou.

      

    Au XVe siècle, on remplaça ce couvre-chef passé de mode par un bonnet conique relativement haut dont on relevait le bord arrière tout en le maintenant droit vers l’avant.

     

     

    Portrait de jeune homme, 1440-1442, Paolo Uccello

    Jeune homme dans la fresque “Recontre de Salomon et la reine de Saba” de Piero della Francesca, (Arezzo, San Francesco) ; Portrait de jeune homme, 1440-1442, Paolo Uccello, (Chambéry, Musée des Beaux-Arts)

     

     

    Chapeaux renaissance, Domenico Veneziano

    Détail de différentes formes de chapeau dans l’Adoration des Mages de Domenico Veneziano, 1439-41, (Berlin, Staatliche Museen)

      

    Au début du XIVe siècle, les hommes restaient généralement imberbes ; puis les “condottieri “ des grandes compagnies françaises et allemandes répandirent la vogue de la barbe. Au XVe siècle, les hommes se rasèrent à nouveau et se laissèrent pousser les cheveux ; vers la fin du siècle, la barbe réapparut, touffue et diversement taillée.

     

    Portrait d'un jeune homme, 1470-1480, Antonio del Pollaiolo

    Portrait d’un jeune homme, 1470-1480, Antonio del Pollaiolo, (Dublin, National Gallery of Ireland). Entre les peintres et les sculpteurs, la beauté masculine avait la même popularité que la beauté féminine. Très souvent les “garzoni” servaient de modèle et ses traits s’idéalisaient. Le jeune homme est présenté ici de profil, le regard fier et intense, le nez droit et la chevelure très fournie est couverte partiellement par un bonnet à la mode.

     

     

    Les femmes au XVe siècle s’inspiraient de la coiffure française : atours et bourrelets échafaudés en pyramides et maintenus par des petits arcs d’osier ou de paille. Souvent avec un rembourrage de faux cheveux qui arrondit le sommet de la tête, la coiffure est ornée de fins cordonnets d’or ou de perles, de rubans, de bandeaux, de voiles, de bijoux.

      

    La coiffure adoptera par la suite de formes plus sobres, divisant les cheveux en deux bandes lisses séparées au milieu du front, qu’enserre un bandeau orné de pierres précieuses. La couleur idéale qu’on cherche à donner aux cheveux naturels aussi bien qu’aux faux, c’est la couleur blonde.

      

    Comme le soleil avait la réputation de teindre en blond la chevelure, il y avait des dames qui, par le beau temps, restaient toute la journée en plein soleil ; de plus, on employait des mordants et des mixtures pour teindre les cheveux.

     

     

    Portrait de Simonetta Vespucci, 1485, Piero di Cosimo, Chantilly, Musée Condé

    Portrait de Simonetta Vespucci, 1485, Piero di Cosimo, (Chantilly, Musée Condé)

    Portrait de femme de profil, vers 1475, Antonio del Pollaiolo

    Portrait de femme de profil, vers 1475, Antonio del Pollaiolo, (Berlin, Gemäldegalerie). La femme de ce portrait à mi-corps, de profil sur un fond couleur bleu lapis-lazuli qui souligne la pureté de ses traits et contraste avec le tissu précieux. La coiffure est typique des dames florentines du XVe siècle.

     

      

    Les bijoux

    Les accessoires et surtout les bijoux eurent eux aussi, leur importance. Les pierres précieuses et les perles, qui enrichissent les vêtements, présentent en outre l’avantage de pouvoir orner divers vêtements, de ne pas s’altérer ; enfin, elles constituent un capital. À Florence existaient plus de cent ateliers d’orfèvrerie registrés au début du XVe siècle. Les bijoux avaient une signification particulière pour les riches florentins. Sa beauté et sa valeur marchande étaient des symboles du prestige familial, ils jouent un rôle très important dans la concertation de mariages.

      

    Les femmes qui portent ces bijoux connaissent ses connotations ainsi que sa valeur symbolique. Dans le portrait de Giovanna degli Albizzi Tornabuoni, ses bijoux – un pendentif avec des perles, une broche et deux bagues – soulignent sa condition d’épouse du jeune Lorenzo Tornabuoni. Prêtés par la famille de l’époux le jour de ses fiançailles, Giovanna les a porté le jour de son mariage et pendant sa courte vie de jeune mariée.

      

    La tradition florentine voulait qu’à la mort de l’épouse (Giovanna, est décédée suite à l’accouchement de son deuxième enfant, deux ans seulement après son mariage), les bijoux reviennent à la famille. Dans le portrait posthume de Giovanna réalisé par Ghirlandaio, elle porte une robe (giornea) décorée avec une stylisée L de Lorenzo et le diamant, emblème des Tornabuoni.

     

     

    Giovanna degli Albizzi Tornabuoni, 1480-1490, Domenico Ghirlandaio

    Portrait de Giovanna degli Albizzi Tornabuoni, 1480-1490, Domenico Ghirlandaio, (Madrid, Museo Thyssen-Bornemisza)

      

      

    Des bijoux plus modestes ornaient les jeunes filles, cadeaux de ses parents, avec de gemmes plus humbles comme le corail qui dans l’iconographie profane est invoqué comme signe de protection.

      

    Des jolis rangs de perles de corail entouraient les graciles cous ou bien de pendentifs en forme de camée ou de boucles d’oreilles. La “Jeune fille” peinte par l’atelier de Ghirlandaio (le maître était le peintre de la vie citadine florentine) arbore un collier de perles de corail et une perle-bouton, qui ferme le voile translucide qui couvre son décolleté.

     

     

    Portrait de jeune fille, vers 1490-1494, atelier de Domenico Ghirlandaio

    Portrait de jeune fille, vers 1490-1494, atelier de Domenico Ghirlandaio, (Lisbonne, Museu Calouste)

    Portrait de femme, vers 1470, Piero del Pollaiolo

    Portrait de femme, vers 1470, Piero del Pollaiolo, (New York, Metropolitan Museum). La femme porte au cou un collier de perles soutenant un pendentif d’une rare beauté, avec un ange en relief au-dessus d’un gros rubis. Un voile couvre ses oreilles, des perles et pierres précieuses rehausse délicatement les cheveux dorés tressés “en guêpier”.

     

     

    Le maquillage

    Les femmes raffinèrent l’art jamais négligé du maquillage. Dans le “Libro dell’arte” (vers 1390) Cennino Cennini enseigne la manière de se farder mais, précisait-il, “Cependant je te dirai que si tu veux conserver longtemps la figure avec sa propre couleur, ne te lave qu’avec l’eau de la fontaine, de puits ou de fleuve, et sois certain que toute autre eau manufacturée rend en fort peu de temps le visage flasque, les dents noires, et finalement les femmes vieillissent avant l’âge”.

      

    Elles aiment s’épiler (Boccace : les coiffeuses “épilaient les sourcils et le front des femmes, leur massaient les joues et leur embellissaient la peau du cou en en retirant certains poils”) ; toutes voulaient être blondes et se coiffaient avec beaucoup d’imagination ; certaines mettaient même de perruques.

      

    Dans le buste du XVe siècle “La belle florentine” du Louvre, la large touche de rouge sur les joues, ainsi que le rouge des lèvres, font ressortir son teint de porcelaine, qui souligne ses traits. Des ombres légères au menton, ainsi que sous la paupière inférieure.

      

    Sa coiffure entortillée des rubans soutient en même temps la masse de ses cheveux. La robe en tissu précieux, le bleu de sa chemise et de sa ceinture, donnent à l’ensemble une impression d’équilibre et de grâce suprêmes.

     

    La belle florentine, XVe siècle, Paris, musée du Louvre

    La belle florentine, XVe siècle, (Paris, musée du Louvre)

    Le langage des couleurs et des étoffes

      

      

    Dans la société de l’époque les couleurs des vêtements, les ors et les différentes étoffes représentaient des éléments taxinomiques permettant de distinguer avec précision le statut social et politique d’un individu au sein d’un groupe et d’un groupe dans la communauté. Même les gens les moins instruits savaient “lire” la signification des couleurs :

      

    il s’agissait là d’une faculté commune dans la vie quotidienne mais dépourvue de supports écrits au moins jusqu’au milieu du XVe siècle. Le langage des couleurs possédait une grammaire faite d’échanges, de combinaisons et d’associations ;

      

      

    ce langage servait, surtout à l’occasion des cérémonies publiques, à manifester l’accord ou le désaccord, à déclarer son amour ou à exprimer son aversion.

      

      

    L’œil expert de l’homme médiéval parvenait à déterminer la valeur d’un vêtement – par la présence de matières précieuses tels les fils d’or ou d’argent, les perles ou les broderies, mais aussi par le brillant et la résistance des couleurs – et surtout à classer les étoffes selon un ordre précis.

      

      

    Il reconnaissait les individus qui vivaient de la libéralité des seigneurs aux “chausses de la livrée”, c’est-à-dire aux couleurs choisies par le seigneur en question ;

      

    les teintes unies étaient obtenues par un procédé sophistiqué et caractérisaient des étoffes coûteuses. L’industrie de la teinture avait atteint un bon niveau et permettait de bénéficier d’une ample gamme de nuances, même si le goût de l’époque conseillait d’arborer, surtout lors de cérémonies, des vêtements aux couleurs tranchées, nettes et brillantes comme le vert, le rouge et le blanc.

     

     

    Le travail des teinturiers, miniature du XVe siècle, Londres, British Library

    Le travail des teinturiers, miniature du XVe siècle, (Londres, British Library)

    La couleur est un symbole et revêt en tant que tel une multitude de significations, parfois opposées. Il n’existait pas de couleurs franchement positives ou franchement négatives ; ce sont les combinaisons et les rapprochements qui en établissent le sens. Le jaune, qui passait dans l’Antiquité pour être la couleur la plus proche de la lumière divine, conserve cette valeur positive lorsqu’il est associé à l’or ; par contre le jaune et le vert ensemble expriment des idées comme la trahison, le désordre et la dégénérescence, voire la folie.

      

    Dès l’Antiquité au rouge correspondait la force, le courage, l’amour et la générosité, mais aussi l’orgueil, la cruauté et la colère, et ceci surtout à partir d’un certain moment en association avec le bleu. À la création de ce système contribuaient probablement les intérêts et les conflits économiques liés au commerce des produits employés en teinturerie. Le blanc, comme le noir, n’est pas considéré comme une couleur mais comme une somme de couleurs.

      

    Le blanc, du latin “candides” – d’où vient le mot “candidatus”, les candidats aux fonctions publiques s’habillant de blanc – devient synonyme de chasteté, d’honnêteté, de foi, de vérité, de bonheur, de joie, de victoire, de triomphe et de sincérité d’âme et de cœur. Les papes, les prêtres de l’Égypte antique, les vestales étaient vêtus de blanc.

     

     

    Piero della Francesca ; Francesco del Cossa

    Valets dans le cortège de la reine de Saba dans les fresques “Légende de la Croix” de Piero della Francesca, (Arezzo, San Francesco). Jeunes dans les fresques du palais Schifanoia, XVe siècle, Francesco del Cossa, (Ferrare)

     

    http://www.aparences.net/art-et-mecenat/renaissance-et-vie-privee/la-mode-du-xve-siecle/ 

     

     

     

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    Les Diamants de la Couronne ou joyaux de la Couronne sont un ensemble de bijoux de la Monarchie Française puis de la République Française dont l'origine remonte à François Ier.

     

    On cite comme pièce célèbre : Le Régent.

     

    Ils sont aujourd'hui conservés en partie au musée du Louvre.

    Bref historique :

    • 1530, constitution de l'ensemble avec clause d'inaliénabilité.

    La collection des Diamants de la Couronne fut constituée de façon délibérée en 1530 par François Ier qui isola un petit groupe de huit pierres ou bijoux en sa possession et les déclara inaliénables. De ce premier fonds ne subsiste que le spinelle dit la Côte-de-Bretagne. Ce fonds fut considérablement augmenté par la suite, particulièrement par Louis XIV.

    • Sous le règne de Louis XIV, augmentation notoire. Les pierres furent parfois mises en gage mais furent toujours récupérées.
    •  
    • Vol dans la semaine du 11 au 17 septembre 1792, d'une partie des Diamants, à l’hôtel du Garde-Meuble de la Couronne, à Paris, où le trésor était conservé. Mais il fut de nouveau augmenté sous Napoléon, de telle sorte qu’il comprenait, en 1814, 65 072 pierres et perles, la plupart montées en bijoux, soit 57 771 diamants, 5 630 perles et 1 671 pierres de couleur (424 rubis, 66 saphirs, 272 émeraudes, 235 améthystes, 547 turquoises, 24 camées, 14 opales, 89 topazes).
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    • Lors de la guerre de 1870, à l'annonce des premières défaites, les Diamants de la Couronne furent confiés à un contrôleur de la Banque de France, Léon Chazal  et transportés à l'arsenal de Brest, puis transférés sur un bateau de guerre, prêt à appareiller
    •  
    • 11 janvier 1887 loi d'aliénation votée par les Chambres à l'initiative de Benjamin Raspail.
    • Du 12 au 13 mai 1887, vente d'une partie des Diamants, le Régent reste au musée du Louvre.

    Quelques pièces :

    histoire de France

    • le Régent (diamant 140,64 carats), (cliché au dessus)

    Joyau de la couronne de France, considéré comme le plus beau et le plus pur des diamants. Le Régent est un diamant célèbre découvert en 1701 à Golconde, en Inde du sud. Lors de sa découverte, il pesait 410 carats et Thomas Pitt, alors gouverneur de Madras, en fit son acquisition pour cent mille dollars.

    Quelques années plus tard, en 1717, il le revendit six cent cinquante mille livres sterling à Philippe, duc d'Orléans et régent de France qui le fit tailler en brillant à Londres et le réduit ainsi à 140,5 carats. Depuis lors, on donna au diamant le nom de Régent et celui-ci fit partie du Trésor royal de France.

    Louis XV le portait sur sa couronne lors de son sacre en 1722, et Marie-Antoinette le portait souvent comme bijou. En 1792, le diamant fut volé avec le Bleu de France mais fut vite retrouvé.

    En 1797, il fut mis en gage par le gouvernement, mais racheté cinq ans plus tard. En 1804, Napoléon Bonaparte arbore le diamant sur la garde de son épée lors de son sacre. En 1825, Charles X porta le Régent sur la couronne royale lors de son couronnement.

    En 1887, les joyaux de la Couronne française furent vendus aux enchères à l'exception du Régent qui est aujourd'hui au Louvre. Pendant la seconde guerre mondiale, on le dissimula dans du plâtre, derrière le marbre d’une cheminée du château de Chambord. Après les hostilités, il a repris sa place initiale

     

    . le Sancy (diamant jaune pâle de 55,23 carats),

    Le TRESOR de la COURONNE de FRANCE

    D'origine indienne, c'est le premier diamant taillé avec facettes symétriques, acquis en 1594 en Turquie par Nicolas de Harlay de Sancy, ambassadeur à Constantinople, puis plus tard surintendant des finances d'Henri IV. Vendu à Jacques I d'Angleterre en 1604, revendu par la reine Henriette-Marie, épouse de Charles I d'Angleterre, au cardinal Mazarin en 1657, qui le légua en 1661 à Louis XIV avec 18 autres diamants. Racheté par les musées de France en 1978.

     

     

    Le Sancy

    L'un des diamants les plus chargés d'histoire est le Sancy, de 55,23 carats, taillé en une poire de 25,7mm x 20,6mm x 14,3mm. La légende en fait l'un des diamants perdus par Charles le Téméraire devant Granson ou Morat en 1476.
    Possesseur du plus gros diamant alors parvenu en Europe, sans doute via Constantinople et Venise, Nicolas Harlay de Sancy, fidèle royaliste, engagea ce diamant à Anvers en juin 1586 en faveur du marquis d'O, favori d'Henri II, le dégagea en 1594 et tenta en vain de le vendre à Constantinople, avec une lettre de recommandation de Henri IV, puis au duc de Mantoue, et le céda à Jacques Ier d'Angleterre en 1604 pour 60 000 écus.
    Charles Ier hérita du Sancy, que porta son épouse, Henriette de France, fille d'Henri IV. Celle-ci gagea à nouveau le diamant auprès du duc d'Épernon pour financer la lutte contre le Parlement anglais. Mais Charles Ier fut décapité en 1649 et, en 1657, Henriette de France dut se résigner à vendre ses joyaux.
    Le cardinal Mazarin lui acheta ainsi, par l'intermédiaire du duc d'Épernon, le Sancy et le Miroir du Portugal, qu'il légua à la Couronne de France en 1661.
    Porté en agrafe de chapeau par Louis XIV, le Sancy fut ensuite serti au sommet de la couronne du sacre de Louis XV en 1722.
    Dérobé les 11 ou 13 septembre 1792 lors du vol du Garde-meuble national, retrouvé le 21 mars 1794 chez un repris de justice, il fut peu après à nouveau engagé à Madrid pour financer la campagne de 1796 en Vendée, mais le Consulat ne put ensuite le dégager.   Le Sancy passe alors entre les mains de propriétaires espagnol, russe, indien puis anglais avant de regagner enfin, discrètement, en 1978, la galerie d'Apollon, au Louvre.
     
     

    C’est en 1671 que Louis XIV ordonne la retaille de son diamant brut d’environ 115 carats, ramené des Indes en 1668 par Jean-Baptiste Tavernier, le célèbre voyageur français. Le nouveau diamant ne pèse que 69 carats.

    Mais sa taille exceptionnelle renforce sa couleur bleue saphir unique. Après le « Sancy », le diamant devient le deuxième plus important joyau de la Couronne de France aux yeux des rois mais certainement le plus unique d’entre tous. Il orne ensuite le grand insigne de l’Ordre de la Toison d’ Or de Louis XV, chef d’œuvre de la joaillerie baroque.

    En 1792, la Toison est volée lors du sac de l’Hôtel du Garde-Meuble (actuellement Hôtel de la Marine, place de la Concorde à Paris). Le diamant bleu disparaît alors pour toujours.

     

    Le TRESOR de la COURONNE de FRANCE

    Ce n’est qu’en 1812 qu’un diamant bleu foncé apparaît chez un joaillier londonien, puis dans la collection d’Henry Philip Hope, grand banquier de Londres. Ce diamant bleu, rond, pèse 45,5 carats.

    Dès 1856, des doutes allaient être émis sur l’origine précise de ce diamant anglais. Il ne manquait juste qu’une réplique du diamant bleu français pour clore l’enquête...

    • le Spinelle dit Côte-de-Bretagne,

    Cette pierre a appartenu à Marguerite de Foix, duchesse de Bretagne, puis à sa fille, Anne de Bretagne, reine de France. C'est la seule pierre d'origine subsistante de la liste de François 1er.

     

    Elle ne prit sa forme actuelle que sous Louis XV. La pierre fut alors taillée en forme de dragon et montée sur une décoration de l'ordre de la Toison d'Or, en diamants et pierres de couleur.

     

    Le TRESOR de la COURONNE de FRANCE

     

     

    • le diamant rose dit Hortensia (diamant rose de 21,32 carats), Diamant de couleur pêche acquis par Louis XIV qui le portait à sa boutonnière, taillé en 1678 à 5 pans, baptisé du nom de la reine de Hollande, Hortense de Beauharnais, qui le porta.

     

     

    Couronne du Sacre de Louis XV avec des fac similés, des pierres précieuses et des perles - 1722

    Diadème d'émeraudes de la Duchesse d'Angoulème 1819 - 1820

    Bibliographie :

    .

    La Toison d’or de la parure de couleur, version 2010 : une dépouille de bélier attachée par le milieu du corps à un collier d'or composé de « fusils » ou briquets, stylisés en forme de B (Bourgogne), encadrant le diamant bleu d'où jaillissent des étincelles, l'ensemble est surmonté par un dragon représentant un combat allégorique.
     

    Lien VIDEO - ... à regarder :

    http://www.youtube.com/watch?v=_p2qMC0pZuU&feature=related

    Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre.
     
    Diadème de perles de l'Impératrice Eugénie - 1853
     
    La Galerie d'Apollon, l'écrin des Diamants de la Couronne
     
    Fran�ois-Regnault Nitot, collier et paire de boucles d�oreille de la parure d��meraudes de l� imp�ratrice Marie-Louise - 1810 - Diamants de la couronne, galerie d�Apollon, mus�e du Louvre � RMN/J. G.La galerie d�Apollon apr�s restauration (vue en perspective de la vo�te), � E.Revault / Mus�e du LouvreLes Diamants de la Couronne, galerie d�Apollon, mus�e du Louvre � RMN Diamant dit �Le R�gent�. Diamants de la Couronne, galerie d�Apollon, mus�e du Louvre � RMNDiamant dit �Le Sancy� Diamants de la Couronne, galerie d�Apollon, mus�e du Louvre � RMNDiamant rose dit �Hortensia� taill� � cinq pans, acquis par Louis XIV  Diamants de la Couronne, galerie d�Apollon, mus�e du Louvre � RMNLa couronne du Sacre de Louis XV. Augustin Duflot - 1722 - Diamants de la Couronne, galerie d�Apollon, mus�e du Louvre � RMN  - Martine Beck-CoppolaCroix de Saint-Esprit. Diamants de la Couronne, galerie d�Apollon, mus�e du Louvre � RMNCouronne de l�imp�ratrice Eug�nie - 1855.Alexandre-Gabriel Lemonnier. Diamants de la Couronne, galerie d�Apollon, mus�e du Louvre � RMN
    Après trois ans de travaux, la fastueuse Galerie d'Apollon du Palais du Louvre construite à la gloire de Louis XIV, le Roi-Soleil, il y a près de 350 ans, rouvre ses portes le 27 novembre 2004.
    Galerie royale, décorée par les plus grands artistes français de Le Brun à Delacroix, elle a servi de modèle à la Galerie des Glaces du château de Versailles.
    Elle retrouve enfin son décor exceptionnel et reprend sa fonction traditionnelle d'écrin grandiose des Diamants de la Couronne.
    Pour la première fois y seront exposés à côte des autres joyaux de la Couronne, le collier et les boucles d'oreilles d'émeraudes de l'impératrice Marie Louise.

    Une galerie d'apparat qui célèbre le Roi-Soleil

    Témoignage de deux siècles de peinture et de sculpture, la galerie d'Apollon est un chef-d'oeuvre unique, représentant un ensemble de 105 oeuvres d'art (41 peintures, 36 groupes de s culptures soit 118 sculptures au total, 28 tapisseries) enchâssées dans la voûte et dans le décor des murs.


    Voulue par Louis XIV comme galerie de réception, selon l'usage qui s'affirmait dans les palais et les maisons nobles, la galerie d'Apollon est reconstruite totalement après un incendie en 1661. Sous la direction de l'architecte Louis Le Vau et du peintre Charles Le Brun commence alors un très long travail qui se poursuivra sur deux siècles, jusqu'en 1851.


    Le Brun, premier peintre du roi imagine une décoration peinte et sculptée sur le thème du soleil et de la course de l'astre dans l'espace (la terre et l'eau, les continents) et le temps (le zodiaque). Le mythe d'Apollon, dieu solaire, qu'évoque aussi le cortège des Muses, glorifie la personne de Louis XIV, le Roi-Soleil. L'ensemble offre une vision idyllique de l'univers sous le signe de l'harmonie dont Apollon est le garant.
    Pendant près de 200 ans, depuis Le Brun jusqu'à Delacroix, des dizaines d'artistes français vont contribuer à la décoration de cet ensemble exceptionnel : Le Brun laisse trois grandes peintures de sa main; les stucs, réalisés à partir de 1663 par le sculpteur Girardon, les frères Gaspard et Balthasar Marsy ainsi que Thomas Regnaudin, composent un ensemble d'une étonnante monumentalité et d'une grande vivacité.
    Laissée inachevée sous Louis XIV, la galerie reçoit au XVIIIème siècle des toiles peintes par les académiciens et sera enfin achevée entre 1849 et 1851. L'architecte Félix Duban, dans le respect du projet initial, procède alors à une restauration complexe et demande à Eugène Delacroix de compléter le décor par de nouvelles compositions, dont le célèbre "Apollon vainqueur du serpent Python".

    Un écrin pour le trésor des rois de France

    La galerie abrite, depuis 1861, la collection de vases en pierres dures de Louis XIV, complétée en 1887 d'un trésor historique constitué au fil des siècles : les Diamants de la Couronne.
    Ces oeuvres, parmi les plus précieuses du département des Objets d'art, sont présentées dans des vitrines conçues pour elles au XIXe siècle.
    L'histoire des Diamants de la Couronne est une véritable épopée pleine de rebondissements. Oeuvres aux destins mouvementés, passées de mains en mains, ces joyaux ont été remontés au gré des souverains. Fondé par François 1er, enrichi sous Louis XIV, ce trésor alors inaliénable atteint son apogée sous Louis XV avec l'achat du Régent. Ce diamant, "de la grosseur d'une prune de la reine Claude" selon Saint-Simon, était le plus grand diamant blanc connu en Europe. Après la Révolution, ce trésor d'Etat sera reconstitué par Napoléon Ier.
    Une nouvelle et prestigieuse acquisition vient de rejoindre les Diamants de la Couronne : le collier et la paire de boucles d'oreilles d'une somptueuse parure exécutée par François-Regnault Nitot, offerte en 1810 par Napoléon Ier à l' impératrice Marie-Louise, à l'occasion de leur mariage.
    Avec au total 38 émeraudes et 1246 diamants, ces bijoux historiques sont une parfaite illustration de l'excellence de la joaillerie parisienne. Ils sont présentés pour la première fois au public.

    Les Diamants de la Couronne

    • "Le Régent"
      Diamant de 140,64 carats, d'une eau exceptionnellement pure et d'une taille parfaite, Le Régent est considéré comme l'un des plus beaux diamants du monde.
      Diamant indien, il fut découvert en 1698, acquis par Thomas Pitt, gouverneur du fort de Madras en 1702, puis acheté en 1717 par le duc Philippe d'Orléans, Régent de France sous la minorité de Louis XV.
      Le Régent devint le symbole de la royauté et de sa magnificence. Il orna la couronne de Louis XV puis celle de Louis XVI.
      Comme les autres Diamants de la Couronne, Le Régent fut dérobé en septembre 1792. Il fut retrouvé en décembre 1793 et restitué au Comité de Sûreté générale. Il fut ensuite mis en gage à plusieurs reprises par la suite par le Directoire.
      En 1800, Bonaparte décida de récupérer les Diamants de la Couronne et Le Régent fut utilisé en 1801 sur la garde de son épée de Premier Consul, puis en 1812 sur le glaive de l'Empereur. Le Régent figura en 1824 sur la couronne de Charles X, puis sous le IInd Empire sur le diadème grec de l'Impératrice Eugénie.
    • "Le Sancy"
      Acquis en 1594 par Nicolas de Harlay, sieur de Sancy, prédécesseur de Sully à la surintendance des Finances sous Henri IV, il fut vendu à Jacques Ier, roi d'Angleterre en 1604. Exilée en France, la reine Henriette-Marie, épouse de Charles Ier d'Angleterre, dut céder le Sancy en 1657 au Cardinal Mazarin, qui le légua en 1661 à Louis XIV. Dès lors, la pierre fit partie du trésor des Diamants de la Couronne.
      Porté successivement par Marie Leczinska et surtout par Marie-Antoinette, ce joyau historique disparut sous la Révolution.
      Par la suite, il appartint aux familles Demidoff et Astor, avant d'être racheté par l'Etat en 1976.
    • Spinelle dit "Côte de Bretagne"
      Cette pierre a appartenu à Marguerite de Foix, duchesse de Bretagne puis à sa fille Anne de Bretagne, reine de France. Elle ne prit sa forme actuelle que sous Louis XV. La pierre fut alors taillée en forme de dragon et montée sur une décoration de l'ordre de la Toison d'or, en diamants et pierres de couleur.
    • Diamant rose dit "Hortensia" taillé à cinq pans, acquis par Louis XIV
    • Couronne du Sacre de Louis XV, 1722. Augustin Duflot d'après les dessins de Claude Rondé.
      La couronne était décorée de 282 diamants, dont Le Régent aujourd'hui présenté séparément, 64 pierres de couleur et 230 perles qui furent remplacées par des imitations après le Sacre.
    • Croix de Saint-Esprit - Milieu du XVIIIe siècle

      7. Paire de pendants d'oreilles en perles de l'impératrice Joséphine - Parure personnelle de l'impératrice conçue en 1802 par Daniel Saint.
    • Parure de saphirs de la reine Hortense et de la reine Marie-Amélie - Début XIXè siècle
      Parure de brillants et de saphirs (diadème, collier, boucles d'oreilles, broches) achetée sous la Restauration à la reine Hortense par le duc d'Orléans, futur Louis-Philippe, pour son épouse Marie-Amélie. Acquise en 1985 du Comte de Paris.
    • Paire de bracelets de rubis de la Duchesse d'Angoulème 1825, Jacques-Evrard Bapst.
      Bracelets provenant de la parure de rubis des joyaux de la Couronne.
    • Diadème d'émeraudes de la duchesse d'Angoulème fille de Louis XVI et Marie Antoinette, 1819 - 1820. Christophe-Frédéric Bapst d'après Jacques-Evrard Bapst
    • Diadème de perles de l'impératrice Eugénie - 1853. Alexandre-Gabriel Lemonnier
    • Grande broche agrafe rocaille de l'impératrice Eugénie - 1855 - Alfred Bapst
      Les deux grands diamants en forme de coeur sont deux des dix huit diamants légués par le cardinal Mazarin à Louis XIV.
    • Couronne de l'impératrice Eugénie - 1855.
      Ce chef-d'oeuvre a été exécuté par Gabriel Lemonnier en 1855. C'est la seule couronne de souveraine française qui subsiste dans son état d'origine.

      Nouvelle acquisition : la parure d'émeraudes de l'impératrice Marie-Louise

      Une nouvelle acquisition pour la première fois exposée : collier et boucles d'oreilles d'émeraudes de l' impératrice Marie Louise.
      Exécutée par François-Regnault Nitot, joaillier de l'empereur, la parure d'émeraudes fut offerte par Napoléon Ier à l'impératrice Marie-Louise à l'occasion de leur mariage, en 1810.
      Elle comprenait à l'origine un diadème (modifié, aujourd'hui conservé à Washington), un peigne, un collier et une paire de boucles d'oreilles et une plaque de ceinture.
      Le collier comporte trente-huit émeraudes, mille deux cent quarante six diamants. Les boucles d'oreilles se composent de six émeraudes et soixante brillants.
      Ces admirables joyaux nouvellement acquis grâce au soutien toujours actif et renouvelé de la société des Amis du Louvre, au fonds du Patrimoine et au financement du musée du Louvre sur ses ressources propres, rejoignent ainsi les bijoux de la Couronne présentés dans la Galerie d'Apollon.
    Yves CALMEJANE, Novembre 2004
     
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    621e4 Tarente, musée archéol., collier, bracelet, anneau

     

     

     

     

     

     

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    Old Doll

      

      

    La poupée existe de les temps les plus reculés, on a en effet, retrouvé des poupées qui datent de la préhistoire, bien sûr, ces poupées avaient des formes primitives.

     

     

     

      

    Les premières poupées véritables, remontent à l'Egypte pharaonique du Moyen Empire, la poupée était réalisée en bois, et elles ont + de 4000 ans. Les poupées en chiffon ou en tissu sont aussi égyptiennes, mais sont plus récentes, 600 ans environ avant J.C.

     Christian Hacker Doll house From the 1860s

    C'est au XIX° siècle, avec l'apparition du papier mâché, que l'on a vu apparaître les poupées en très grand nombre et des poupées diverses en variété.

     

    La première poupée qui possédait des yeux mobiles est née en 1880.

     

     

    Le XVIII° siècle, a quant à lui, vu apparaître la poupée-mannequin, qui était présentatrice et ambassadrice de la mode française.

     

     

     

     

      

    Un fabricant Allemand de Sonneberg créa en 1887, les têtes de poupées en "pâte cartonnée", appelée cuir cartonné, qui devait être placée entre les moules chauds et subir une forte pression.

      

    La composition fut aussi employée comme base sous la cire pour rendre les têtes plus attrayantes.

     

     

      

      

    Au début du XXe siècle, le composé à base de bois devint le matériau universel pour la fabrication des poupées

     

    De nos jours on retrouve encore des poupées anciennes et de collection, à savoir des poupées en porcelaine, des poupées en cire, des poupées de chiffon, des poupées russes, des poupées Bella, qui ont existé, elles, entre 1946 à 1984, qui ne sont plus vendues dans les magasins, mais que l'on retrouve chez les collectionneurs,toutes les poupées peuvent donner lieu à un début de collection qui s'orientera avec la recherche et selon le goût : bois, biscuit, porcelaine, papier mâché, celluloïd, rhodoïd, cire, feutre, tissu ou plastique et dans les bourses de poupées.

     

     

     

    Les poupées Bella, ont rendu plus d'une génération de petites filles heureuses, maintenant on retrouve toujours des poupées qui font toujours la joie des petites filles, elles s'appellent maintenant Barbie, Charlotte aux fraises, Dora, Corolle, Carina, Bratz, Becassine etc...

     

    Ces poupées sont des poupées chiffons, des poupées à thèmes, des poupées souples, des poupées mannequin, des poupées qui bougent, qui parlent, qui chantent !!! des poupées fées comme Tozy, Céleste, Roy, des poupées parfumées, des poupées accompagnées d'un tas d'accessoires, etc...

     At the Doll Shop

     

      

    Les poupées font toujours plaisir, la poupée est un excellent cadeau pour une fille, à l'occasion d'un Noël, d'un anniversaire, on trouve des centaines de poupées différentes, dans les magasins de jouets et sur les sites de jouets en ligne d'internet.

     

     

     

    Les poupées sont relativement d'un coût abordable, car il y en a à tout les prix, du plus petit au plus grand... cela laisse toute latitude, aux personnes qui ont un budget restreint.

     

    On peut offrir une poupée, sans trop se ruiner !!! Si vous avez le temps, allez visiter le musée de la poupée à Paris. Au Japon, il une fête annuelle japonaise qui met en valeur les poupées.

     

    Sources D.R. article du 27 novembre 2010

     

     

     

     

     

     

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