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    HISTOIRE DU SAVON      

     

     

    Les Sumériens ne semblent pas le connaître trois millénaires avant notre ère. Un millénaire plus tard, des textes décrivent la saponification. Un millénaire avant notre ère, les Phéniciens exportent le savon et le fabriquent à partir d'huile d'olive et de soude végétale, comme deux millénaires plus tard en Syrie, en Grèce ou à Marseille.

     

    Ce savon est particulièrement réputé pour ses propriétés désinfectantes, dues principalement à l'usage de cendres de laurier dans sa fabrication.

     

    Le savon est, selon Pline, une invention gauloise qui décrit savons durs et savons mous. Le latin sapo, laisse un génitif saponis. Sous forme de l'accusatif saponem, il a donné le français savon. Le vieux-germanique Seipu a laissé Seife en allemand.

     

    Substance lavante et nettoyante connue en Europe occidentale depuis l'époque gauloise, il est fabriqué en quantité à partir de cendres alcalines ou potassiques (cendres de hêtre, de l'herbe à savon), de suif, de saindoux de sanglier ou d'huiles excédentaires non comestibles[1]. Il sert surtout, appliqué comme onguent sur les chevelures d'après la littérature latine, de shampooing ou de gel colorant à l'usage les longs cheveux en "rouge" (en fait chevelure blonde tirant vers le roux).

     

    À côté de la toilette des mains et du visage, il faut retenir l'emploi de substances de toilettes complexes à base de suc de plantes, de savons mêlés de substances adoucissantes ou grasses, tel le beurre ou la glycérine, mélange de moins en moins agressif ou de plus en plus protecteur appliqué de la pointe à la racine des cheveux.

     

     

    L'odeur d'eau savonnée et d'acide butyrique, lorsque le beurre a ranci, était barbare aux nez romanisés du Haut-Empire et même du Bas-Empire. Grecs et Romains se débarrassent des poussières du stade ou des tâches en raclant une strille sur leur corps huilé, avant la régénération par les massages et l'eau des thermes, aux bains successifs chaud, tiède et froid.

      

    Au temps de l'Egypte ancienne, on se frottait le corps avec du bicarbonate de soude à l'état naturel appelé natron et une pâte de cendres et d'argile# En 2000 avant Jésus Christ, les Sumériens fabriquaient déjà une pâte faite d'huile, d'argile et de cendres qui ressemblait fort à un savon mou.

    Au IVème siècle, on retrouve une pâte de cendres et de graisse animale sous le nom étymologique " sapo " d'origine gallo-romaine.

    Au XIIème siècle, les Egyptiens, Tunisiens et les Perses faisaient commerce du savon qui restait un produit fort coûteux et confidentiel, l'hygiène n'étant pas la préoccupation première au Moyen-Ag.

    On découvre que la graisse animale employée était le suif de chèvre et que les cendres étaient issues du hêtre et du varech.

    A la Renaissance et durant trois siècles, le savon cède la place au parfum qui était censé protéger des maladies contagieuses comme la peste.

    L'eau des bains devait être transportée par seaux et chauffée, ce qui rendait le nettoyage peu aisé# C'est pourquoi l'on se contentait d'un ou deux bains par an .

      

      

    Le savon alors est la résultante d'un alcali al-qâli = cendres en arabe, mélangé à un corps gras. La graisse animale est remplacée au XIIIème siècle par de l'huile d'olive, qui rend le savon plus ferme. Le premier savonnier marseillais officiel apparaît en 1371 et s'appelle Crescas Davin.  

    Au XVème siècle, les premières savonneries industrielles marseillaises exportent leur production, imitant le savon d'Alicante, puis embauchent du personnel qualifié dans toute la Méditerranée au XVIème, ce qui leur permettra de perfectionner leurs techniques et d'exporter davantage.   

    Au XVIIème, la consommation de savon est en augmentation car son usage tend à se généraliser, pour le lavage du linge notamment. Fin XVIIème, Marseille exporte à travers le monde. Le premier édit réglementant la profession date de 1688 et interdit entre autres d'utiliser un autre corps gras que l'huile d'olive.   

    Siméon Chardin - Les bulles de savon (1734)  

      

    Au XVIIIème, on trouve deux sortes de savons pour des usages différents :

    1. le savon blanc pour les soyeux, bonnetiers, filateurs, teinturiers, blanchisseurs et parfumeurs.

    2. le savon marbré pour le dégraissage des laines, les ménages et les colonies. La fabrication est alors la principale ressource de Marseille.

      

    En 1801, l'importation de matières premières pour le savon est bloquée par les Anglais et Nicolas Leblanc trouve un procédé permettant l'obtention d'un des constituants du savon avec du sel marin soude caustique.

    Il invente la soude factice en traitant le sel marin par l'acide vitriolique.L'embargo fait augmenter le prix de l'huile d'olive et l'on utilise de ce fait de l'huile de noix, de colza, d'oeillette et de lin.   

      

    En 1810, chaque savonnier devait appliquer sa marque et garantir la qualité de son savon. Une commission de contrôle veillait au bon respect de la confrérie. Les savonniers décident de se passer des négociants et l'on incorpore désormais 10 à 20% d'huile de palme et de coco dans la masse d'huile utilisée.

    Michel Chevreul publie une théorie exacte de la saponification qui nous apprend que les huiles et graisses sont composées d'éthers-sels résultant de la combinaison entre un acide gras et le "principe doux" de Scheele, c'est-à-dire la glycérine alcool trivalen.

      

    Chevreul fit breveter avec Gay-Lussac un procédé d'extraction des acides gras du suif donnant naissance à une nouvelle matière première, l'oléine.  

    La hausse du prix de l'huile d'olive oblige les fabricants à utiliser le sésame et le lin ainsi que l'arachide.

    J.D. Rougier invente un procédé qui blanchit l'huile de palme et permet d'obtenir un savon blanc.

    Dès la seconde moitié du XIXème siècle, les usines ferment les unes après les autres car peu mécanisées. La tendance s'inverse en 1880 avec des manufactures capables de produire 12500 tonnes par an.                  

      

    Au XXème siècle, l'usage du savon est passé dans les mœurs bien que certaines études sur l'hygiène laissent à penser le contraire. Les savonneries fusionnent avec les huileries pour créer de nouveaux débouchés. François Merklen publie l'explication physico-chimique du savon et de nouvelles techniques voient le jour. Sur le savon de Marseille authentique est gravée une fière annotation : EXTRA PUR 72% D'ACIDE GRAS.   

     ange gardie 300x223 La savonnerie de Marseille trouve un ange gardien

    La GRANDE SAVONNERIE de MARSEILLE 

      

    Le savon est un objet liquide ou solide composé de molécules amphiphiles composées de sels métalliques, spécifiquement d'hydroxyde de sodium ou d'hydroxyde de potassium, et d'acides gras.

    Son caractère amphiphile lui donne ses propriétés caractéristiques, notamment la formation de mousse et d'émulsions utiles pour le lavage.

      

      

    Sources : WIKIPEDIA

    photos google

     

     LIEN à REGARDER .... http://www2.ac-lille.fr/patrimoine-caac/tourcoing/savons/histoire.htm

      

      

      

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      Fichier:Taylor, Elizabeth posed.jpg

      

      

     

    Dame Elizabeth Rosemond Taylor, communément appelée Liz Taylor, est une actrice britannico-américaine, née le 27 février 1932 à Londres, dans le quartier d'Hampstead, et morte le 23 mars 2011 à Los Angeles.

     

    Elisabeth Taylor

      

    Elle commence sa carrière à l’âge de dix ans et rencontre aussitôt le succès en tournant dans des films tels que Fidèle Lassie, le mélodrame Le Grand National (qui lui vaut son premier triomphe personnel) réalisé par le directeur favori de Greta Garbo, Clarence Brown, Les Quatre Filles du docteur March mis en scène par Mervyn LeRoy (qui révéla Lana Turner), la comédie Le Père de la mariée de Vincente Minnelli et sa suite… Une place au soleil et Géant, les deux de George Stevens avec respectivement Montgomery Clift, James Dean et Rock Hudson, lui ouvrent, en 1956, les portes de l’immortalité.

      

    Étoile d’Hollywood dans les années 1950 et 1960, elle reçoit deux Oscars pour ses rôles dans La Vénus au vison et Qui a peur de Virginia Woolf ?. Ses autres grands succès incluent La Chatte sur un toit brûlant, Soudain l’été dernier ainsi que Cléopâtre et La Mégère apprivoisée.

     

    Elisabeth TaylorPlus rare sur grand écran à partir des années 1970 en raison de sa santé précaire (et de l’insuccès de ses films dès la fin des années 1960), Elizabeth Taylor se consacre à la lutte contre le SIDA avant même le décès de son ami Rock Hudson en 1985.

     Elisabeth Taylor

    En 1999, l’American Film Institute distingue Elizabeth Taylor comme la septième plus grande actrice de tous les temps dans le classement AFI’s 100 Years100 Stars

     

     

     

      

      

     

    Elizabeth Taylor naît le 27 février 1932 à Hampstead, situé en Angleterre dans la banlieue cossue de Londres, avec la nationalité britannique, de parents tous deux américains et originaires de Kansas City (Missouri). Elle est la seconde enfant de l'actrice Sara Viola Warmbrodt (de son nom de scène Sara Sothern, 1895–1994) et de Francis Taylor (1897–1968), propriétaire d'une galerie d'art. Elle grandit au 8 Wildwood Road d'Hampstead Garden Suburb auprès de ses parents et de son frère aîné Howard Taylor

    (né en 1929).

    Ses deux prénoms, Elizabeth et Rosemond lui ont été donnés en l'honneur de sa grand-mère paternelle Elizabeth Mary (Rosemond).

    Le colonel Victor Cazalet, un des meilleurs amis de la famille, a beaucoup d'influence sur cette dernière. Riche et bien introduit, membre du Parlement et proche de Winston Churchill, il est un passionné d'art et de théâtre. Il persuade les Taylor de s'établir définitivement au Royaume Uni. Adepte de Science chrétienne, ses liens avec la famille sont également d'ordre religieux. Il devient le parrain d'Elizabeth et entraîne la famille sur le chemin de sa propre obédience.

      

      

    Le biographe Alexander Walker suggère qu'il « est probable que la conversion d'Elizabeth à la religion juive, et son long engagement à la cause d'Israël, a pour origine la vision sympathique qu'elle en a eu chez elle au cours de ces années formatrices. ».

    Walter note que Cazalet était un propagandiste actif pour un État hébreu et sa mère a milité activement au sein de groupements caritatifs avec des collecteurs de fonds en faveur du sionisme. Elle se souvient de l'influence de Cazalet sur sa fille en ces termes: « Victor s'assit sur le lit et prit Elizabeth dans ses bras tout en lui parlant de Dieu. Ses grands yeux sombres scrutaient son visage, s'imprégnant de chaque parole, croyant et comprenant [ce qu'il lui disait] p. 14 ».

    Peu avant le début de la Deuxième guerre mondiale, fuyant les hostilités, les parents d'Elizabeth décident de rentrer aux États-Unis. Sara part la première avec les enfants. Elle débarque à New York au mois d'avril 1939 .

    Le père, resté momentanément à Londres pour emballer les œuvres d'art de son magasin, arrive à son tour au mois de novembre. La famille choisit de s'établir à Los Angeles, Californie, ville dont Sara est originaire et où elle possède de la famille. Francis Taylor y ouvre une galerie où il expose les peintures qu'il a rapportées du Royaume Uni. Son magasin attire rapidement de nombreuses célébrités du tout-Hollywood. D'après Walter, la galerie « ouvre grand les portes aux Taylor, leur donnant accès à la société argentée et prestigieuse » du cinéma hollywoodien. Elizabeth découvre le milieu du cinéma lorsque sa mère la présente aux studios de Hollywood.

    Elisabeth Taylor

      

    Elizabeth bénéficie de la double nationalité. Américaine par ses parents, elle est aussi citoyenne britannique par le fait d'être née sur le sol du Royaume Uni.

    Elizabeth Taylor et la religion :

    Lors de sa venue à Hollywood, la jeune femme n’était pas croyante. Néanmoins, lorsqu’elle commence à fréquenter Conrad Hilton, son premier mari, elle se convertit au catholicisme.

      

    Elisabeth Taylor

      

    Début 1959, elle se convertit au Temple Israël à Hollywood, au grand désespoir de ses parents, et reçoit le nom hébreu de Elisheba Rachel. Dans son autobiographie Elizabeth Takes Off, elle déclare que « ça n’a absolument rien à voir avec mon passé. Mes deux maris Mike Todd et Eddie Fisher étaient tous les deux juifs, mais j’avais voulu le devenir avant. ».

    Cependant la passion qu’elle a pour cette religion diminue rapidement, et elle n’est allée qu’une fois à la synagogue, sans jamais renoncer pour autant à porter sa croix. Des années plus tard, elle commence à s’intéresser à la spiritualité, à Dieu et à la prière.

      

      

    Elisabeth Taylor

      

      

      

    En 1998, elle participe à une session de 200 dollars US à 300 dollars US du Centre de la Kabbale].Ce mouvement spirituel repose principalement sur la lecture du Zohar, dont une version originale reliée en vingt-trois volumes est vendue par le centre. Cette pratique est fortement contestée par de nombreux rabbins qui y voient non seulement une appropriation mercantile de leur patrimoine culturel mais également une dérive sectaire. Comme Elizabeth Taylor, de nombreuses stars ont affirmé leur appartenance à ce mouvement comme Madonna, Tippi Hedren ou Demi Moore.

      

     

    Elisabeth Taylor

      

    Mariages :

    Mis à part sa longue « amitié amoureuse » avec l’acteur Montgomery Clift mais sans lendemain en raison de l’homosexualité de l’acteur, Elizabeth Taylor est mariée huit fois avec sept hommes différents :

     Elisabeth Taylor 

    du 6 mai 1950 au 29 juin 1951, avec Conrad Nicholson Hilton Jr. (1926-1969) dit Nicky Hilton, héritier de la chaîne des hôtels Hilton et directeur de la TWA. Leur union n'est pas heureuse et se solde par un divorce au bout de neuf mois.

      Elisabeth Taylor

    du 21 février 1952 au 26 janvier 1957, avec l’acteur Michael Wilding (1912-1979)  qui est son aîné de 20 ans.

      

     Elisabeth Taylor

    du 2 février 1957 au 22 mars 1958, avec le producteur Michael Todd (1909-1958) dit Mike Todd. seule de ses unions à ne pas s’être conclue par un divorce leur idylle prend fin avec la mort du producteur.

      

    Elisabeth Taylor

      

    du 12 mai 1959 au 6 mars 1964, avec le chanteur Eddie Fisher  meilleur ami de Todd et consolateur de la veuve éplorée. Leur idylle alors que Fisher est encore marié à Debbie Reynolds crée un scandale dans l'Amérique puritaine de l'époque. Elizabeth le quitte lorsqu'elle entame une liaison avec Richard Burton.

      

    Elisabeth Taylor

    du 15 mars 1964 au 26 juin 1974, avec Richard Burton (premier mariage). Richard Burton joue au théâtre à Toronto. Elizabeth et lui viennent d’obtenir leur divorce respectif du Mexique, un papier que ne voudront pas reconnaître les autorités à Toronto, qui refusent donc au célèbre couple le droit de se marier sur leur territoire.

      

    Elisabeth Taylor

      

      

    Un avocat appelle alors le Ritz Carlton, à Montréal, où Elizabeth Taylor et Richard Burton ont décidé de venir se marier puisqu’au Québec, les lois sont moins sévères. En toute discrétion, ils se disent oui une première fois, dans le salon royal de l’hôtel Ritz Carlton, à Montréal. Minée par le fait qu'elle n'obtient aucun rôle, elle devient boulimique et prend du poids. Elle divorce au bout de dix ans de mariage.

      

      

    Image du Blog fantasyval.centerblog.net

      

      

     

    Elisabeth Taylor

     

     

    .Elisabeth Taylor


    Elisabeth Taylor

     

     

      Elisabeth Taylor

      

    Franco Zeffirelli

    du 10 octobre 1975 au 29 juillet 1976, avec Richard Burton (second mariage).

      

    Elisabeth Taylor

     

    Seize mois après avoir divorcé, ils se remarient en privé à Kasane, Botswana mais se séparent rapidement et divorcent à nouveau en 1976. Burton est opposé à l'image qu'on se fait de sa beauté.

      

     

    Elisabeth Taylor

      

      

    Il admet volontiers qu'elle a « des yeux magnifiques » mais que « [l'apellation] de plus belle femme au monde est un non sens. Elle a... un double menton, une poitrine volumineuse, est plutôt courte sur pattes ».

      

    Elisabeth Taylor

      

      

    En 1976 il déclare que, lors de leur première rencontre, « elle était incontestablement splendide. Je n'ai pas d'autre mot pour décrire cette combinaison de plénitude, de frugalité, d'abondance, de minceur. Elle était somptueuse.  Elle était d'une grande générosité.  En bref, elle était superbe »

      Liz et Richard (1964)

    du 4 décembre 1976 au 7 novembre 1982, avec le sénateur John Warner (né en 1927) Comme pour Burton, l'actrice s'imaginait qu'être la femme d'un sénateur républicain la ferait connaître. Peine perdue. Elle est admise pour une dépression à la Betty Ford Clinic.

    du 6 octobre 1991 au 31 octobre 1996, avec l’ouvrier en bâtiment Larry Fortensky qu'elle a rencontré à l'occasion d'une deuxième cure de désintoxication à la Betty Ford Clinic. Ils se marient au Ranch de Neverland, la résidence de Michael Jackson.

      

      Elisabeth Taylor

      

    En 2010, un neuvième mariage avait été évoqué avec l'agent et compagnon de la comédienne depuis quelques années, Jason Winters, de presque trente ans son cadet. Elle déclare à la journaliste Liz Smith « Jason Winters est l'un des hommes les plus merveilleux que j'ai jamais connu et c'est la raison pour laquelle je l'aime. Il nous a acheté la plus belle maison d'Hawaï et nous nous y rendons le plus souvent possible ». Taylor et Winters ont été aperçus fêtant l'Independence Day sur un yacht à Santa Monica, Californie.

    Fichier:ElizabethTaylor 1986 cropped2.jpg

      

    Lorsqu'on lui demande pourquoi elle a épousé tant d'hommes, elle répond: « Je ne sais pas, chéri. Cela chasse sûrement le démon qui est en moi » mais en fait, la réalité est toute autre: Elizabeth Taylor n'a jamais été heureuse.

      

    Elisabeth Taylor 

      

    Amants :

    C. David Heymann, dans son livre Liz : La biographie non autorisée d’Elizabeth Taylor, dresse la liste des amants de la belle actrice, grande séductrice de l’écran dotée d’une vitalité extraordinaire (en témoigne sa résistance à ses problèmes de santé et à ses abus divers). Outre ses amitiés amoureuses avec les plus célèbres homosexuels d’Hollywood (Montgomery Clift, Rock Hudson...) et ses liaisons déjà citées avec les réalisateurs Stanley Donen et Richard Brooks et avec l’acteur George Hamilton, le biographe détaille (de façon parfois choquante) les passades de Taylor, avec les acteurs Peter Lawford, Victor Mature, et le chanteur et acteur Frank Sinatra parmi les plus connus de ses amants.

      

     

     

      

    Liz taylor et ses enfants

     

    Fichier:Liz Taylor, Liza Todd and Mike Todd by Toni Frissell, 1957.jpg

      

    Enfants :

    De ses différentes unions, Elizabeth Taylor a eu plusieurs enfants :

     

    • avec Michael Wilding :
    • avec Michael Todd :
      • Elizabeth Frances Todd, surnommée Liza (née le 6 août 1957) ;
    • avec Richard Burton:
      • Une fille adoptive, Maria Burton (née le 1er août 1961, adoptée en 1964). Les démarches d'adoption ont été faites à l'époque où Elizabeth Taylor était mariée à Eddie Fisher mais ont abouti lorsque l'actrice eut épousé Burton.

    Elizabeth Taylor est grand-mère pour la première fois en 1971, à l'âge de 39 ans. À la fin de sa vie, elle est la grand-mère de dix-petits enfants et arrière-grand-mère de quatre.

    Tous étaient présents lors de son décès.

      

     Joseph L. Mankiewicz

      

      

    SOURCES : WIKIPEDIA - http://fr.wikipedia.org/wiki/Elizabeth_Taylor

      

      

     

     

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    bannieres bijoux 1930  - ART DECO

      

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    BANNIERES BIJOUX KITCH

      

     

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    PIERRES PRECIEUSES DECO

      

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  • BANNIERES BIJOUX

      

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  • BANNIERES de FLEURS

      

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  • Bannières de décoration

      

     

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    L'HISTOIRE DE LA PIN UP !!!

     

    Une pin-up est une femme dans une pose attirante ou « sexy » dont on accroche la représentation sur un mur, d'où l'expression anglaise de « pin-up girl » qui pourrait se traduire en français par « jeune fille épinglée au mur ».  

     

     

    La première utilisation du mot est attestée en 1941. Mais le concept apparaît plus tôt, au début du siècle, sous le nom de Gibson Girl (du nom de leur créateur) et ses variantes (« Pretty Girls », « Varga Girl », « Christy Girl », etc.). Les premiers « pin-up boys » et les dessinatrices (Joyce Ballantyne, Pearl Frush, Zoë Mozert...) ont également fait leur apparition.

     

     

     

    Femme fatale, poupée, sexe-symbole, la pin-up est représentée par ses créateurs comme la femme idéale[1]. Les pin-up, provocantes sans être vulgaires, apparaissent sur des magazines, journaux, posters, calendriers ou des « cartes d'arts », petites vignettes à collectionner qui ont aidé à la popularisation des pin-up.

    Histoire de la PIN UP

    On les retrouve dans les années 1970 dans les cabines des camionneurs sachant que, dès la Seconde Guerre mondiale, les équipages d'avions affichaient ces illustrations sur les carlingues de leurs avions. Elles sont maintenant recherchées par les collectionneurs.  

    Histoire de la PIN UP

     

    L'âge d'or des pin-up se situe dans les années 1940 et 1950, principalement aux États-Unis. On peut notamment citer Alberto Vargas ou Gil Elvgren, illustrateurs emblématiques de cette période. On assiste depuis quelque temps à un regain d'intérêt pour ces égéries des années 1950 avec l'arrivée de modèles célébrant cette époque.

    La mode, les magazines, les artistes remettent le style pin-up au goût du jour. Certaines modèles comme Dita von Teese font d'ailleurs de ce courant leur marque de fabrique.

     

    Histoire de la PIN UP

     

    Histoire de la PIN UP

     

     

     

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